La conférence s’cst formée en marge des travaux sur l’histoire de la presse polonaise en France dans les années 1920-1940; elle est basé sur les analyses préparatoires du contenu de plus des 100 journaux. L'auteur fait observer, que la presse jouait un important, rôle d’organisation parmi les immigrés parce que les possibilités d'influence des structures telles que les paroisses polonaises et les écoles polonaises étaient limitées. D’où vient que la presse des immigrés profitait d’ une large autonomie vis à vis les institutions et les sociétés polonaises dans ce pays. Les éditeurs et les journalistes appréciaient ces fonctions de la presse qui favorisaient Installations des immigrés sur le nouveau terrain, ce qui arrivait souvent, surtout dans la premiere période de l’existence de cette presse. Elles n'etaient pourtant pas considérées commes les plus importantes; on cité toujours, à coté d’elles, les dovoirsliées à l’intégration à l’interieur du groupe et a soutenir les contacts avec la Pologne. Vers le 1930 ont apparu les premiers signes que l’immigration prend les traits stables: cela était lié au fait de changement de sa position sur le territoire français. On s’ést rendu donc compte de l’inevitabilité des processus d’adaptation et même d’assimilation à la société française. Les actions concretes, qui facilitaient les contacts des immigrés avec la France et les Français, étaient: la publication des manuels d’autodidacte et des dictionnaires dans la presse, la presentation et l’analyse des actes juridiques imposés aux immigrés. On n’apparenait pourtant pas aux Polonais, de façon satisfaisant, l’histoire et la culture de la France même pas dans les formes qui résultait du caractère plébéien de la plupart de journaux - telles que le feuilleton. Dans les services d’information et dans les commentaires les événements français cédaient visiblement la place - quant à la quantité - aux sujets liées aux immigrés et à la Pologne. La réalité française politique et sociale étant évaluée de façon moderêe (la presse communiste excepté), on évitait de s’angager trop loin dans les affaires intérieurs les plus importantes de la III Republique. Même à l’epoque du Front Populaire, les quotidiens de centre-droite ne menaient pas des polémiques directes avec les decisions gouvernementales. On peut supposer qu'ils craignaient aussi d’eventuel contre-attaques des autorités mais la raison principale de cet état de choses était qu’ils adoptaient toujours la position d’observateur plûtot que celle de participant dans les événements. L’action de popularisation des modèles français de la culture de masse était, au contraire, très développée. On essayait également - surtout aux debuts et dans les annés 1937-1938 - de procurer aux lecteurs des arguments dans leurs contacts avec les Français, touchant aux problèmes liés à la politique étrangère de la Pologne. En somme, la presse polonaise en France n’est devenu ni les armes de l’assimilation intensive, ni l’instrument soutenant l’hostilité ou le carectere étranger des immigrées vis à vis la société français.